Archives pour août, 2007
Bannières publicitaires : les FCS
La bannière publicitaire est un moyen répandu de se faire connaître, de faire de la publicité, d’engendrer du trafic sur son site internet ou encore de doper ses ventes.
Tous les secteurs d’activités utilisent les bannières pour promouvoir leurs produits et/ou services. Acteur de l’e-commerce, la boutique du Stade de France a mis en place récemment une campagne de bannières publicitaires. Un autre exemple concernant le secteur du tourisme, MMCréation a réalisé la dernière bannière animée pour le groupe Sofitel.
Aujourd’hui le Rich Media est un des moyens les plus utilisés pour créer ces bannières. Il permet de proposer un contenu plus riche qui se modifie et invite l’internaute à l’interaction. Ainsi, les créations animées intègrent du son et des vidéos.
Pour créer des publicités interactives, il existe plusieurs outils : Flash, DynamicHTML (DHTML), Java, Streaming Media. Bien que la technologie utilisée soit une étape importante dans le processus de campagne, le contenu de la bannière reste un élément crucial et déterminant du succès de la publicité en ligne.
Les facteurs clés de succès pour la mise en place d’une campagne pub via des bannières sur Internet sont donc :
• un contenu simple, court et attractif
• des emplacements sur sites à forts trafics
• une création graphique fortement attractive et invitant l’internaute à l’interaction
• le choix d’une technologie adaptée
Comment doper les résultats de ses e-mailings ?
Opus 3 : les principaux facteurs de clic
Mais que fait cliquer l’internaute ?
Dans le précédent opus, nous avons distillé quelques conseils pour maximiser votre taux d’ouverture. Voyons maintenant, ce qui va l’inciter à cliquer.
Selon une étude récente du SNDC, les internautes sont avant tout guidés par la pertinence de l’offre, c’est-à-dire son adaptation à ses besoins, à ses attentes (91,4%). En d’autres termes, il s’agit d’adopter une stratégie de personnalisation cachée et donc une segmentation fine de votre base.
La possibilité de gagner un cadeau les incitent également à cliquer (61,4%) mais moins que la présence d’un produit connu (76,9%). Un graphisme attrayant reste un facteur de clic très important (54,6%) et donc majeur quand on a pas de produits à forte notoriété et rien à faire gagner.
Autre facteur permettant d’optimiser les performances de sa campagne : le nombre de liens contenus dans le message. Plus le nombre de liens est important, plus le taux de clic le sera également. Ainsi, avec plus de 10 liens, on obtient un taux de clic 2 fois supérieur (11% contre 5% pour les messages avec moins de 10 liens).
Dans tous les cas, l’efficacité commerciale d’un e-mailing est incontestable. En effet, 78% des répondants à l’étude déclarent acheter suite à la réception d’un email commercial et près de 40% le font souvent ou régulièrement.
Prochain opus : choisir le bon moment pour envoyer son e-mailing
Pas de vacances pour l’e-tourisme !
L’actualité estivale de l’e-tourisme serait restée en veille sans le joli « coup » du fonds d’investissement Blackstone. Ce dernier vient de s’offrir la chaîne Hilton pour 26 milliards de dollars, une transaction record dans le secteur ! Aujourd’hui, le fonds Blackstone représente le premier opérateur hôtelier du monde avec plus de 600.000 chambres sous différentes marques.
Entre décembre 2006 et mai 2007, près de 3 internautes sur 5 (59%) ont acheté, commandé ou réservé un service lié au voyage sur Internet, selon le baromètre Médiamétrie/NetRatings / FEVAD.
Les acteurs dominants du secteur sont actuellement lastminute.com, Expedia, Accorhotels.com ou encore Air France. Voyages-sncf.com reste leader et c’est plus d’un internaute sur trois qui a acheté un billet de train on-line au cours des six derniers mois. Plus généralement, ce sont près de 22% des internautes qui achètent leurs voyages exclusivement sur Internet.
Source : Voyages & Technologies
Les chèques cadeaux selon Hotels & Preference
La bannière publicitaire est un moyen répandu de se faire connaître, de faire de la publicité, d’engendrer du trafic sur son site internet ou encore de doper ses ventes.
Tous les secteurs d’activités utilisent les bannières pour promouvoir leurs produits et/ou services. Acteur de l’e-commerce, la boutique du Stade de France a mis en place récemment une campagne de bannières publicitaires. Un autre exemple concernant le secteur du tourisme, MMCréation a réalisé la dernière bannière animée pour le groupe Sofitel.
Aujourd’hui le Rich Media est un des moyens les plus utilisés pour créer ces bannières. Il permet de proposer un contenu plus riche qui se modifie et invite l’internaute à l’interaction. Ainsi, les créations animées intègrent du son et des vidéos.
Pour créer des publicités interactives, il existe plusieurs outils : Flash, DynamicHTML (DHTML), Java, Streaming Media. Bien que la technologie utilisée soit une étape importante dans le processus de campagne, le contenu de la bannière reste un élément crucial et déterminant du succès de la publicité en ligne.
Les facteurs clés de succès pour la mise en place d’une campagne pub via des bannières sur Internet sont donc :
• un contenu simple, court et attractif
• des emplacements sur sites à forts trafics
• une création graphique fortement attractive et invitant l’internaute à l’interaction
• le choix d’une technologie adaptée
Comment doper les résultats de ses e-mailings ?
Opus 2 : le choix de l’objet et de l’expéditeur
L’objectif de toute opération d’emailing ou d’envoi de newsletter est d’obtenir un bon taux d’ouverture, c’est-à-dire de soumettre un pourcentage maximum de destinataires au message.
Parmi les facteurs principaux d’ouverture de mail, on retrouve bien entendu : l’objet du mail et la dénomination de son expéditeur. Ce sont donc deux données qu’il ne faut absolument pas négliger !
Ainsi l’intérêt pour le sujet du mail incide à 87,5% sur l’ouverture et la reconnaissance de l’expéditeur à 83,5%. Contrairement à certaines idées reçues, le fait d’insérer une promo dans l’objet incite moins à l’ouverture (63,4%) que l’intérêt pour le sujet (87,5%) ou le fait de reconnaître l’expéditeur (83,5%) et notamment d’en être déjà client (85%).
La personnalisation de l’objet, ce qui implique une segmentation fine de la base de destinataires permet quant à elle de gagner 7 points d’ouverture en moyenne (34% contre 27%).
Dans tous les cas, faîtes court. En effet, le nombre de caractères dans le sujet du message joue un rôle déterminant dans l’ouverture. Quand l’objet fait moins de 35 caractères, le taux d’ouverture est de 33,69% alors que quand il comporte plus de 35 caractères, ce taux n’est que de 26,23%, soit près de 7,5 points de différence.
En résumé, optez pour un expéditeur reconnaissable facilement et choisissez un objet court et pertinent !
Sources : Etude SNDC / Journal du Net
Prochain opus : les principaux facteurs de clic