Author Archive
La Fevad prévoit plus de 3 milliards d’euros de revenus pour l’e-commerce.
La Fédération estime, par ailleurs, que les ventes sur internet devraient, cette année, franchir la barre des 16 milliards d’euros et que le nombre de cyberacheteurs devrait dépasser les 20 millions à l’issue des prochaines fêtes de fin d’année.
En 2006, déjà, près de la moitié du budget cadeau des acheteurs en ligne avait été dépensé sur le Web.
Source : Fevad – Journal du Net
Entre le 2ème et le 3ème trimestre 2007, 500.000 nouveaux français interrogés ont déclaré avoir effectué des achats en ligne, selon Médiamétrie.
Au total, 19,5 millions d’internautes sont des cyberacheteurs (progression de 21 % sur un an).
Internet participe, ainsi, largement au développement de la Vente à Distance (VAD). 41 % des foyers français achetant à distance utilisent, désormais, le Net alors qu’ils n’étaient que 7% il n’y a encore que 5 ans.
Par ailleurs, les cyber-acheteurs achètent plus souvent que les autres acheteurs de la VAD. 47 % des cyber-acheteurs réalisent 6 achats et plus par an (28 % pour les autres acheteurs en VAD).
A l’exception de la tranche d’âge des plus de 60 ans, les internautes de tous les âges achètent en ligne. Les 24-35 ans sont les plus actifs (58% d’entre eux achètent en ligne).
Bonne nouvelle, le pourcentage des internautes confiants dans l’e-commerce augmente aussi. Ils sont désormais 58%.
Source : Médiamétrie, novembre 2007 – Fevad, Médiamétrie-Nielsen Netratings, octobre 2006 – TNS Sofres, septembre 2006 – Journal du Net
Comment doper les résultats de ses e-mailings ?
Opus 7 : Le graphisme et l’ergonomie, des atouts essentiels pour réussir vos emailings
54,6 % des internautes interrogés lors de l’étude SNCD considèrent qu’un graphisme attrayant constitue un des principaux facteurs de clic sur un e-mail. Les études comportementales l’attestent : la meilleure personnalisation est celle qui ne se voit pas mais qui suscite le clic de l’internaute.
L’ergonomie de l’email va de paire avec un graphisme attrayant. En effet, une ergonomie bien pensée guidera l’internaute dans sa lecture et permettra d’augmenter considérablement le taux de clic. Par ailleurs, rappelons qu’un développement de qualité est impératif en matière d’e-mailing. Il serait malheureux de parvenir à faire cliquer un internaute sur l’un des liens d’un email pour qu’ensuite ce même lien soit erroné ou encore d’envoyer des mails illisibles sur certains système de lecture ! En résumé, pour réussir ses emailings et ses newsletters, de nombreuses compétences doivent être réunies : rédactionnelles, marketing, graphiques, ergonomiques, techniques, … Il est, donc, très difficile de les réunir toutes en dehors d’une agence spécialisée. C’est pourquoi, nous vous invitons à consulter notre page de présentation.
Ainsi se termine « Comment doper les résultats de ses e-mailings ? », à bientôt pour une autre saga !
Comment doper les résultats de ses e-mailings ?
Opus 6 : Faire gagner des cadeaux, quel impact sur vos emailings ?
Inclure la possibilité de participer à un jeu concours ou de gagner un cadeau augmentera fortement le taux de clic de votre campagne. En effet, 61,4% des internautes cliquent pour ouvrir un email lorsque la possibilité leur est offerte de gagner des cadeaux.
Par ailleurs, cela est une excellente manière de favoriser le marketing viral.
En effet, parmi les principaux facteurs de parrainage, nous retrouvons l’intérêt du sujet (69,9%) et l’intérêt des offres (66,4%) mais aussi en 3ème position les chances de gagner (55,6%).
Enfin, c’est un excellent moyen de capter en propre des abonnés à sa newsletter lors d’une opération comportant de la location d’emails. En effet, les internautes qui s’inscrivent à des jeux-concours accepetent plus facilement la suggestion d’abonnement à la newsletter.
Prochain opus : Le graphisme et l’ergonomie, des atouts essentiels pour réussir vos emailings
Comment doper les résultats de ses e-mailings ?
Opus 5 : Newsletters / Emailings, la bonne fréquence d’envoi
Lorsqu’ils sont intéressés, les internautes plebistent une fréquence au moins hebdomadaire
Tous secteurs confondus, lorsqu’ils sont intéressés, plus de 50 % des internautes souhaitent recevoir des e-mails au moins une fois par semaine. Ce chiffre sous-entend que l’e-mailing soit ciblé, c’est-à-dire que les destinataires soient intéressés par le sujet ou les offres. Mais attention, la sanction d’un envoi trop fréquent d’informations non pertinentes, par rapport aux attentes des destinataires, c’est au mieux le désabonnement, au pire l’empreinte d’une mauvaise image de marque !
Quand on parle de fréquence, on pense aussi risque de désabonnement
En effet, selon l’étude SNCD, le premier facteur de désabonnement d’un e-mail commercial est l’inadaptation des offres aux attentes (85,2%). Viennent ensuite la répétitivité trop élevée des messages (82,7%) puis la trop grande fréquence des offres de l’annonceur (71,5%).
Ainsi, ce n’est pas tant le nombre des e-mails mais le caractère répétitif et inadapté des messages qui incite les internautes à se désabonner. Pour lutter contre le désabonnement, les annonceurs doivent être créatifs et cibler leurs campagnes d’e-mailing.
Prochain opus : Faire gagner des cadeaux, quel impact sur vos emailings ?